La damnation de l'aube (Cassandra Palmer T 4) Karen Chance

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Sortie le 20 mai 2011

Cassandra Palmer peut bien être la pythie toute puissante maintenant, ça ne veut pas dire que les gens ont arrêté de chercher à la tuer. La majorité des puissants du monde surnaturel ne veulent pas de la trop indépendante Cassie comme chef des clairvoyants et rien ne les arrêtera tant qu'elle ne sera pas six pieds sous terre.
Le Sénat des vampires apporte son support à Cassie mais leur protection a un prix : l'alliance avec le séduisant Mircea qui la proclamée comme étant sienne.
Mais même les vampires auront du mal à la garder en vie maintenant que le dieu Apollon, la source du pouvoir de la pythie, en pince pour elle. Pour sauver sa vie, et le monde, Cassie va devoir confronter son créateur une bonne fois pour toute.

Souce

Note : 6 / 10

Cassie n'a pas été formée à son role de pythie, en plus on veux soit la tuer (le cercle d'argent...), soit la protégé à tout prix (Mircea...) même si ça l'empeche de faire son travail correctement.
En plus elle se retrouve toujours empétrée dans les ennuis. Bref c'est pas maintenant qu'elle vas arriver à se reposer.

Cassie prend conscience de certaines choses dans ce tome. Elle se rend compte qu'elle maintient les gens à distance parce que comme ça elle a l'impression de les protéger d'elle. Et puis elle cherche à prendre de la distance avec sa relation avec Mircea, parce qu'elle se rend compte qu'elle ne le connait pas, et qu'elle a peur que ses sentiments soient principalement duent au geis (même si il existe plus). Enfin, vers le milieux du tome, un évenement vas créer un raprochement entre Cassie et Pritkin (qui est un de mes personnages préférés).
On ne sait pas vraiment si Mircea est vraiment attaché à Cassie, ou s'il l'utilise pour le compte de la consule.
Pritkin reste tel qu'il est, même s'il se dévoile un peu plus.

Certains passages souffrent de longeurs duent à des desciptions un peu trop longues à mon goût. Karen Chance glisse de petites touches d'humours, dans son réçit, qui sont trés appréciables et allègent le tout.
En revanche la surenchère de préripéties peut donner la sensation de prises de racourcies, qui, certe donnent du rythme à l'écriture.

Citations :
"Mais je me suis souvenue que mon coeur n'avait pas vois au chapitre. Mon coeur passait con temps à dire des bétises. Il fallait qu'il apprenne à la boucler."
Cassie